ELEVAGE FAMILIALE DE SHIH TZU
ELEVAGE DES TRESORS DE KAÏLASH
POURQUOI LE CHOIX DE CETTE AFFIXE
NOS PETITS SHIH TZU SONT ORIGINAIRE DU TIBET
D ' OU L' INTERET DU MONT KAÏLASH
ILS REPRESENTENT LA DOUCEURS ET LA PURETES
COMME DES JOYAUX
POURQUOI LE CHOIX DE CETTE AFFIXE
NOS PETITS SHIH TZU SONT ORIGINAIRE DU TIBET
D ' OU L' INTERET DU MONT KAÏLASH
ILS REPRESENTENT LA DOUCEURS ET LA PURETES
COMME DES JOYAUX
Demeure des dieux, la cime du Kaïlash au Tibet est sacrée et nul n'est autorisé à la gravir. Pour l'honorer les fidèles en accomplissent le tour. Une marche spirituelle à jamais gravée au plus profond de l'être.
Kaïlash
Vue de la face nord du KaÏlash.
Géographie
Altitude6 714 m
MassifTranshimalaya (plateau tibétain)
Région autonomeTibet
PréfectureNgari
Ascension
PremièreAucune (interdiction)
Voie la plus facileAucune
Signification du nom
Le mot Kailâsa signifie « cristal »[1] en hindî. Les Tibétains le nomment Ghang Rimpoche ou Khang Ripoche, ce qui signifie le « précieux joyau des neiges » et les jaïns Ashtapada. Il est aussi appelé Tise ou Meru.
Signification religieuse
Le sommet du Kailâsa est considéré comme la demeure de Shiva et de sa shakti Pârvatî – littéralement fille de la montagne –, ce qui explique son caractère sacré pour les hindous qui le voient aussi comme un lingam accompagné de la yoni symbolisée par le lac Manasarovar. Selon une légende, au cours d'une altercation avec un moine bön, le maître Milarépa, pour montrer sa supériorité, se serait transporté au sommet de la montagne sur un rayon de soleil[2].
Ascensions
Ce sommet n'a jamais été gravi. En 2001, le gouvernement tibétain en exil et le journal britannique The Observer affirmèrent qu'une expédition espagnole, dirigée par Jésus Martinez Novàs, avait obtenu de la part des autorités chinoises la permission de tenter l'ascension du Mont Kailash au Tibet[3],[4].
Le gouvernement tibétain en exil fit la déclaration suivante : « Nous avons été profondément affectés en apprenant que les autorités chinoises ont donné la permission à un groupe d'alpinistes espagnols de faire l'ascension du Gang Rinpoche — le mont Kailash —, qui est sacré pour trois grandes religions. Les hindous, les bouddhistes et les fidèles de bön, religion prédominante au Tibet avant l'avènement du bouddhisme, considèrent en effet Gang Rinpoche comme une montagne sacrée. Pour les hindous, Gang Rinpoche est le symbole du Mont Meru, le centre de l'univers. Les bouddhistes tibétains considèrent cette montagne comme la demeure de Demchog et de Dorje Phangmo, symbolisant l'union des forces mâles et femelles. C'est le cas également pour les fidèles de bön. Demander la permission de grimper sur le Kailash, ainsi qu'accorder cette permission, est clairement, de la part de ce groupe d'alpinistes espagnols et de la Chine, la négation des sentiments religieux qui animent les fidèles de trois des grandes religions du monde. Nous exhortons le groupe d'alpinistes espagnols à renoncer à cette aventure d'autant plus scandaleuse que la liberté de religion au Tibet est violemment réprimée par les autorités chinoises. Traiter la montagne la plus sacrée au monde comme un vulgaire terrain de sport constituerait la preuve d'une insensibilité flagrante vis-à-vis des sentiments religieux du peuple tibétain ».
Ces affirmations furent démenties par le gouvernement chinois, par la voix du porte-parole du ministère des affaires étrangères : « Nous n'avons jamais autorisé de telles activités, et toutes ces dépêches prétendant que la Chine a donné la permission à une équipe d'alpinistes espagnols de gravir le mont Kailash sont absolument sans fondement »[5].Cliquez sur une vignette pour l’agrandir
Vue de la face nord du KaÏlash.
Géographie
Altitude6 714 m
MassifTranshimalaya (plateau tibétain)
Région autonomeTibet
PréfectureNgari
Ascension
PremièreAucune (interdiction)
Voie la plus facileAucune
Région autonome du Tibet
Le Kailash, Gang Rinpoché ou Kailâsa, est une chaîne de montagnes des Himalayas[1] et un sommet culminant à 6 714 mètres. Située dans la préfecture de Ngari, au Tibet, à proximité du lac Manasarovar et du lac Rakshastal, elle est à la source de deux des quatre plus grands fleuves d'Asie : l'Indus et le Sutlej. Cette montagne est le centre de l'univers bouddhiste (chaque bouddhiste aspire à en faire le tour), c'est aussi un endroit sacré pour les hindous, les jaïns et les bönpos depuis des siècles. Les abords de la montagne divine sont des lieux saints où « les pierres prient ».
Le Kailash, Gang Rinpoché ou Kailâsa, est une chaîne de montagnes des Himalayas[1] et un sommet culminant à 6 714 mètres. Située dans la préfecture de Ngari, au Tibet, à proximité du lac Manasarovar et du lac Rakshastal, elle est à la source de deux des quatre plus grands fleuves d'Asie : l'Indus et le Sutlej. Cette montagne est le centre de l'univers bouddhiste (chaque bouddhiste aspire à en faire le tour), c'est aussi un endroit sacré pour les hindous, les jaïns et les bönpos depuis des siècles. Les abords de la montagne divine sont des lieux saints où « les pierres prient ».
Signification du nom
Le mot Kailâsa signifie « cristal »[1] en hindî. Les Tibétains le nomment Ghang Rimpoche ou Khang Ripoche, ce qui signifie le « précieux joyau des neiges » et les jaïns Ashtapada. Il est aussi appelé Tise ou Meru.
Signification religieuse
Le sommet du Kailâsa est considéré comme la demeure de Shiva et de sa shakti Pârvatî – littéralement fille de la montagne –, ce qui explique son caractère sacré pour les hindous qui le voient aussi comme un lingam accompagné de la yoni symbolisée par le lac Manasarovar. Selon une légende, au cours d'une altercation avec un moine bön, le maître Milarépa, pour montrer sa supériorité, se serait transporté au sommet de la montagne sur un rayon de soleil[2].
Ascensions
Ce sommet n'a jamais été gravi. En 2001, le gouvernement tibétain en exil et le journal britannique The Observer affirmèrent qu'une expédition espagnole, dirigée par Jésus Martinez Novàs, avait obtenu de la part des autorités chinoises la permission de tenter l'ascension du Mont Kailash au Tibet[3],[4].
Le gouvernement tibétain en exil fit la déclaration suivante : « Nous avons été profondément affectés en apprenant que les autorités chinoises ont donné la permission à un groupe d'alpinistes espagnols de faire l'ascension du Gang Rinpoche — le mont Kailash —, qui est sacré pour trois grandes religions. Les hindous, les bouddhistes et les fidèles de bön, religion prédominante au Tibet avant l'avènement du bouddhisme, considèrent en effet Gang Rinpoche comme une montagne sacrée. Pour les hindous, Gang Rinpoche est le symbole du Mont Meru, le centre de l'univers. Les bouddhistes tibétains considèrent cette montagne comme la demeure de Demchog et de Dorje Phangmo, symbolisant l'union des forces mâles et femelles. C'est le cas également pour les fidèles de bön. Demander la permission de grimper sur le Kailash, ainsi qu'accorder cette permission, est clairement, de la part de ce groupe d'alpinistes espagnols et de la Chine, la négation des sentiments religieux qui animent les fidèles de trois des grandes religions du monde. Nous exhortons le groupe d'alpinistes espagnols à renoncer à cette aventure d'autant plus scandaleuse que la liberté de religion au Tibet est violemment réprimée par les autorités chinoises. Traiter la montagne la plus sacrée au monde comme un vulgaire terrain de sport constituerait la preuve d'une insensibilité flagrante vis-à-vis des sentiments religieux du peuple tibétain ».
Ces affirmations furent démenties par le gouvernement chinois, par la voix du porte-parole du ministère des affaires étrangères : « Nous n'avons jamais autorisé de telles activités, et toutes ces dépêches prétendant que la Chine a donné la permission à une équipe d'alpinistes espagnols de gravir le mont Kailash sont absolument sans fondement »[5].Cliquez sur une vignette pour l’agrandir